mercredi 2 avril 2008

L'anglais comme langue d'adoption

Désolé, le blog est un peu calme ces dernières semaines. Il faut dire que nous sommes tous très pris en ce moment dans l'équipe. Moi, par exemple, je me prépare à passer le FCE de Cambridge. A 123 euros l'épreuve, je n'ai pas intérêt à le rater.

Je vous fais part quand même d'une très bonne nouvelle. Le réseau d'action pour l'anglais s'étend puisque j'ai pu lire un article plein de bon sens sur le site AgoraVox. Son auteur est plein d'enthousiasme pour l'avenir :

J’ai beaucoup d’espoir de voir mes enfants apprendre l’anglais dès la maternelle, et faire de cette langue leur "deuxième langue maternelle".
Or, récemment, un rapport d'experts choisis selon la méthode des quotas a justement proposé que chaque européen se dote d'une «deuxième langue maternelle» en plus de l'anglais. Interrogée par EurActive, Catherine Suard, une spécialiste de la diversité monolinguistique a donné un exemple qui illustre bien ce concept :
Je vais vous donner un exemple personnel. Ma fille aînée voyageait beaucoup avec moi quand elle était petite et devait étudier dans des écoles internationales où la langue officielle était l’anglais. Aujourd'hui, l'anglais est pour elle comme une deuxième langue maternelle.

La langue d'adoption est une langue qui permet de mieux comprendre la culture des autres et c'est pour ça qu'il est important que chaque Européen possède au moins une deuxième langue maternelle.

Moi aussi j'ai choisi ma langue d'adoption ! Bon, je retourne à mes études.